IV

Solal

Cette fois-ci, une fois n'est pas coutume, un billet rien que pour moi. Tout d'abord pour vous signaler - mais vous le savez sans doute déjà si vous lisez cette publication - que j'ai eu quatre ans il y a, oh presque un mois, maintenant. À cette occasion, on a fait une chouette bringue avec mes copines et mes copains à la maison, qui a laissé nos loulous de parents totalement exténués absolument ravis.

Ensuite, dans les événements peu habituels, je suis allé avec mon papa au cinéma dimanche matin pour aller voir en avant-première Coco, le dernier pixey/disnar, une « fresque onirique et haute en couleur brossant, sur fond de culture aztéco-mexicaine, le tableau d'une société ignorante du besoin viscéral des arts dans son architecture civilisationnelle », comme dirait je ne sais pas qui (mais qui devrait manifestement s'aérer un peu le ciboulot).
En plus, c'est même pas vrai : c'est l'histoire d'un petit garçon qui veut jouer de la guitare !

Moi, ce que j'en pense, c'est que c'était drôlement bien et que je veux retourner au cinéma parce que j'ai même pas trop eu peur et puis de toute façon, j'avais les genoux de mon papa.